
Fin mai, je viens de boucler quatre
week ends consecutifs au bord de l'eau, soit plus de 300 heures. Respectivement sur les berges d'une
gravière de 60 hectares il y a quatre semaines pour 48H00 et les trois derniers
week ends sur un grand lac alpin de près de 600 hectares. Outre le fait que j'étais accompagné parfois de mes amis
Fredo,
Didier et leur présence, notre complicité suffit à la réussite de nos sessions, je n'ai eu la chance de poser qu'avec une miroir de 16 kg devant l'objectif. Quand à
Fredo et
Didier ils ont pris respectivement une commune de 14 kg et 17 kg. Nous n'avons enregistré aucun
run sur le grand lac alpin. Pas facile de trouver les carpes sur deux ou trois nuits, pas d'activité

pas de sauts qui puissent trahir leur présence. La mobilité des carpes dans ces eaux aux profondeurs abyssales compliquent la missio

n. Des
grouinages repérés au détours d'une roselière, autour de gros rochers, mais encore sur un fond de cailloux ne m'ont pas permis de concrétiser ce repérage par des
runs. Les carpes étaient passées, pour repasser par ces spots clefs, je n'en doute pas mais pendant ma présence sur le lac. Je n'ai pas été bon, c'est clair, mais je ne suis pas du genre à abdiquer, je reviendrais encore plus motiver et j'aurais ma revanche. En attendant, mes
delkims sont devenus aphones, je vais devoir remédier à ce sevrage de
runs, vite........